Le EHC en redressement judiciaire
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Rappel du premier message :
Le GAMYO Dépose le bilan !
https://www.vosgesmatin.fr/sport/2018/03/25/hockey-la-sasp-gamyo-d-epinal-en-depot-de-bilan
Le GAMYO Dépose le bilan !
https://www.vosgesmatin.fr/sport/2018/03/25/hockey-la-sasp-gamyo-d-epinal-en-depot-de-bilan
Dernière édition par cannibale le Mer 25 Avr 2018 - 18:20, édité 1 fois
- Messages : 7786 Like : 1215 Date d'inscription : 01/08/2012
cannibale
C'est faisable si et seulement si il se présente un gros repreneur (sponsor de stature nationale ou internationale) qui aurait un droit de regard.. si ce n'est plus sur le club et toute sa gestion et organisation internes notamment .Ce qui avait été refusé en son temps par l'équipe dirigeante à une grande marque de boissons énergisantes.Il faudra bien de toutes façons accepter, si l'occasion est là, de passer par ces "fourches caudines" ...survie du club oblige.ursi29 a écrit:Est-il possible (souhaitable ) de penser à monter une équipe niveau Magnus a partir de plus rien ??Une équipe qui serait bâtie sur du sable ,de l'illusion !On a déjà donné au niveau du "bling-bling",de la parlotte , du virtuel !
- Messages : 1153 Like : 142 Date d'inscription : 27/08/2012
Gil521
"fourches caudines" je dis chapeau
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Bataille_des_Fourches_Caudines
C'est pas tous les jours qu'on se cultive sur un forum sportif;)
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Bataille_des_Fourches_Caudines
C'est pas tous les jours qu'on se cultive sur un forum sportif;)
- Messages : 1215 Like : 186 Date d'inscription : 04/10/2013
tom
tom a écrit:"fourches caudines" je dis chapeau
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Bataille_des_Fourches_Caudines
C'est pas tous les jours qu'on se cultive sur un forum sportif;)
trop stylé l'expression
je dirais même plus que l'on se cultive et il n'y a pas meilleur expression que celle-ci.
- Messages : 435 Like : 42 Date d'inscription : 16/11/2012
indigo
CALT88 a écrit:
Parmi ceux qui l'ont côtoyé de près, je crois qu'il n'y a vraiment plus grand monde pour croire en CASOLARI.
Par pitié, degagez Mr CASOLARI !!!!
Laissez ce club tranquille
Tu as peur que les bruits qui circulent se vérifient ...
Pas sûr que ton vœu soit exaucé ...
- Messages : 6176 Like : 563 Date d'inscription : 06/08/2012
stef
stef a écrit:CALT88 a écrit:
Parmi ceux qui l'ont côtoyé de près, je crois qu'il n'y a vraiment plus grand monde pour croire en CASOLARI.
Par pitié, degagez Mr CASOLARI !!!!
Laissez ce club tranquille
Tu as peur que les bruits qui circulent se vérifient ...
Pas sûr que ton vœu soit exaucé ...
Quel bruit ?
- Messages : 435 Like : 42 Date d'inscription : 16/11/2012
indigo
Le bruit continue de courir (depuis 2 mois) sur une éventuelle reprise des dettes et du capital Gamyo SASP par ALTICE (groupe SFR) dont le directeur général est le spinalien Armando Perreira (131ème fortune française en 2016)...indigo a écrit:Quel bruit ?stef a écrit:Tu as peur que les bruits qui circulent se vérifient ...CALT88 a écrit:
Parmi ceux qui l'ont côtoyé de près, je crois qu'il n'y a vraiment plus grand monde pour croire en CASOLARI.
Par pitié, degagez Mr CASOLARI !!!!
Laissez ce club tranquille
Pas sûr que ton vœu soit exaucé ...
- Messages : 7786 Like : 1215 Date d'inscription : 01/08/2012
cannibale
[/quote]
Le bruit continue de courir (depuis 2 mois) sur une éventuelle reprise des dettes et du capital Gamyo SASP par ALTICE (groupe SFR) dont le directeur général est le spinalien Armando Perreira (131ème fortune française en 2016)...[/quote]
Dans l'hypothèse où ce serait vrai, ce serait une bonne chose du coup ?
A condition de revoir la direction du club
Le bruit continue de courir (depuis 2 mois) sur une éventuelle reprise des dettes et du capital Gamyo SASP par ALTICE (groupe SFR) dont le directeur général est le spinalien Armando Perreira (131ème fortune française en 2016)...[/quote]
Dans l'hypothèse où ce serait vrai, ce serait une bonne chose du coup ?
A condition de revoir la direction du club
- Messages : 222 Like : 25 Date d'inscription : 21/04/2016
Wizard
cafecreme68 a écrit:Si c'est lui qui se pointe tant mieux, c'est pas le style à jouer à cady Crush et le dire sur twitter
C'est en tout cas ce qu'on entend ..perso je trouve bizarre que tout le monde se barre alors qu'un repreneur se manifeste ...
Il veut même installer Plch aux manettes ...
Saint Thomas manifeste toi ...
Pas toi Tom... ..
- Messages : 6176 Like : 563 Date d'inscription : 06/08/2012
stef
stef a écrit:cafecreme68 a écrit:Si c'est lui qui se pointe tant mieux, c'est pas le style à jouer à cady Crush et le dire sur twitter
C'est en tout cas ce qu'on entend ..perso je trouve bizarre que tout le monde se barre alors qu'un repreneur se manifeste ...
Il veut même installer Plch aux manettes ...
Saint Thomas manifeste toi ...
Pas toi Tom... ..
La St Thomas cest le 3 juillet ... j'espère qu'on en saura plus d'ici là
- Messages : 1215 Like : 186 Date d'inscription : 04/10/2013
tom
cannibale a écrit:Le bruit continue de courir (depuis 2 mois) sur une éventuelle reprise des dettes et du capital Gamyo SASP par ALTICE (groupe SFR) dont le directeur général est le spinalien Armando Perreira (131ème fortune française)...indigo a écrit:Quel bruit ?stef a écrit:
Tu as peur que les bruits qui circulent se vérifient ...
Pas sûr que ton vœu soit exaucé ...
c'est biens ce qui me semblais avoir compris dans les différents post.
oui pourquoi pas il est directeur opérationnel.
C'est sur que si Monsieur Pereira met les main dans la Sasp va y avoir du changement. C'est un sacré homme d'affaire et pas du genre Blin bling (il se rappel d'ou il viens LUI)
pourquoi remprendre la SASP ?
n'est ce pas mieux d'en créer une, une toute neuve, sans casseroles, sans trou, sans tous ce bazar, sans casolari's ?
- Messages : 435 Like : 42 Date d'inscription : 16/11/2012
indigo
Incroyable destin pour un homme parti, littéralement, de rien. Né en mars 1952 dans une famille d'agriculteurs à Guilhofrei, petit village à l'extrême nord du Portugal, il quitte l'école à 11 ans et travaille comme plombier. A 14, il prend, seul, la route de la France : « Je suis parti avec deux pantalons, deux chandails et 2 000 escudos en poche (l'équivalent de 593 euros aujourd'hui) », a-t-il confié au magazine Sabado. Comme lui, 815 000 Portugais gagneront la France, en manque de main-d'œuvre, entre 1960 et 1974. Il débarque à Courbevoie (Hauts-de-Seine) et œuvre quelques années sur des chantiers, avant de s'installer près de Nancy (Meurthe-et-Moselle), où il rencontre sa femme. Là, il déniche un poste d'installateur téléphonique et sillonne les routes pour raccorder les câbles chez des centaines de Lorrains. Le soir, le futur patron suit des cours. Management ? Non, français – car le jeune immigré a appris la langue sur le tas –, histoire – pour comprendre son pays d'adoption – et géographie – « pour conquérir, plus tard, de nouveaux territoires », a-t-il confié à un proche. Ces années sur le terrain lui permettent « de tout apprendre sur les réseaux télécoms », selon les propos rapportés par Sabado. Déterminé à réussir, il grimpe les échelons et dirige, à 24 ans, 1 500 personnes. En 1985, à 33 ans, il crée sa propre société d'installation, Sogetrel, basée à Thaon-Les-Vosges, qui devient l'un des principaux sous-traitants de France Télécom.
« Une forte fibre commerciale et une grande intelligence »
Dans le même temps, Patrick Drahi est en train de conquérir les premiers bastions de son empire. Ce polytechnicien, né à Casablanca en 1963 et arrivé du Maroc à 15 ans, fonde une société de conseil en télécoms, CMA, en 1993, puis deux opérateurs, Sud Câble Service en 1994 et Médiaréseaux en 1995, qui développent peu à peu leur réseau câblé à Cavaillon (Vaucluse), à Château-Renard (Loiret), et dans l'Est. En quête d'un prestataire, Patrick Drahi fait appel à Armando Pereira, rencontré en 1993. Le premier est diplômé de l'école la plus prestigieuse de France, l'autre n'a que son certificat d'études, mais tous deux ont une histoire qui les rapproche : immigrés, entrepreneurs et travailleurs acharnés, ils s'entendent à merveille. En 1999, Armando Pereira revend Sogetrel, qui compte alors 1 450 employés, à la banque hollandaise ABN Amro. Lui et ses deux associés encaissent 31,5 millions d'euros. Il reste à son poste, sous la supervision de la banque et de son représentant, Christophe Karvelis. Ce dernier se souvient : « Parmi les fondateurs, Armando était l'homme de terrain, doté d'une forte fibre commerciale, très empathique et avenant, mais aussi d'une grande intelligence. » L'entrepreneur tente, en vain, de convaincre les nouveaux actionnaires qu'il est temps, pour Sogetrel, d'investir dans le réseau câblé, au lieu de se contenter d'installer. « Cela nécessitait beaucoup d'argent. Mais on aurait dû l'accompagner », regrette Christophe Karvelis.
Armando fait donc ses valises et rejoint, en octobre 2002, son partenaire en affaires, Patrick Drahi, au sein d'une holding nommée Altice. Pour 24 000 euros, il acquiert 20 % des parts (lire document ci-dessus). Drahi en garde 51 %. Les autres sont détenues par Angélique Benetti (9 %), une ancienne du Conseil supérieur de l'audiovisuel, aujourd'hui directrice des contenus chez SFR, et Bruno Moineville (20 %), qui n'exerce plus de fonction chez Altice. A coups de rachats, le groupe grandit dans l'Hexagone (France Télécom Câble, TDF Câble et NC Numericable en 2005, Noos-UPC France en 2006, Completel en 2007), aux Antilles (Outremer Telecom et Moebius en 2013), et au Portugal (Cabovisao en 2012 et Oni en 2013). En 2014, les acquisitions de SFR (13,4 milliards d'euros) et Virgin Mobile (325 millions d'euros) placent Altice sur le devant de la scène.
« C'est le nouvel homme fort de SFR »
Dans les médias, Patrick Drahi, qui vient de racheter, sur ses deniers personnels, les magazines L'Express et L'Expansion, après Libération, apparaît comme le seul capitaine à bord. Mais c'est un duo qui tient la barre. Dans l'ombre, Armando Pereira supervise l'intégration de chaque nouvelle entité, avec une rigueur assumée : « Nous coupons les coûts sur les choses superflues (…). Nos salariés doivent avoir ce qui leur faut pour travailler, pas plus », confiait-il à Sabado. La plupart des fusions se traduisent, dans un premier temps, par des licenciements : 316 chez France Télécom Câble en 2005, 862 chez Noos en 2006, 100 chez Cabovisao en 2012…
De quoi inquiéter chez SFR, l'opérateur mobile officiellement absorbé mi-novembre. Certes, Altice s'est engagé à ne pas y faire de plan social pendant trois ans, mais le ménage a commencé. La quasi totalité du comité exécutif de la marque a été remerciée, remplacée par des fidèles venus de Numericable. L'impitoyable chasse au gaspillage est lancée, orchestrée par Armando Pereira, surnommé le « top gun manager » dans une analyse financière de la banque française Oddo. « Son rôle est de contrôler les achats. C'est le nouvel homme fort de SFR », nous confirme un ex-cadre, fraîchement débarqué.
Les salariés et les sous-traitants inquiets
Les syndicalistes aussi ont appris à le connaître : « C'est le cost killer d'Altice », persifle l'un d'eux. Les vraies victimes de ce tournant de la rigueur seront les sous-traitants. Selon le plan stratégique présenté le 18 décembre, que nous nous sommes procuré, toutes les prestations seront soit renégociées, soit internalisées. D'après un représentant syndical, l'ensemble des factures doit baisser de 30 %. Pour cela, chaque dépense serait maintenant validée par un membre du comité exécutif. « Même l'achat d'un stylo bille », s'étonne un employé. « Altice a une politique de gestion efficace des coûts », dément sobrement Arthur Dreyfuss, le directeur de la communication d'Altice.
Bientôt, les 11 000 salariés de Portugal Telecom connaîtront le même régime : le rachat par Altice, pour 7,4 milliards d'euros, vient d'être validé par une ultime assemblée générale extraordinaire, jeudi 22 janvier. Là-bas, 4 000 postes en centres d'appels seront créés (délocalisés depuis la France, le Maroc et la Tunisie, selon Sabado), dont 1 000 à Vieira do Minho, le district natal d'Armando Pereira. L'enfant du pays, parti avec 600 euros en poche, revenu avec 3,2 milliards.
Une chose est sur: s'il vient les bieres gratos au secteur VIP et un billet imprimé qui en vaut 10 c'est finis
« Une forte fibre commerciale et une grande intelligence »
Dans le même temps, Patrick Drahi est en train de conquérir les premiers bastions de son empire. Ce polytechnicien, né à Casablanca en 1963 et arrivé du Maroc à 15 ans, fonde une société de conseil en télécoms, CMA, en 1993, puis deux opérateurs, Sud Câble Service en 1994 et Médiaréseaux en 1995, qui développent peu à peu leur réseau câblé à Cavaillon (Vaucluse), à Château-Renard (Loiret), et dans l'Est. En quête d'un prestataire, Patrick Drahi fait appel à Armando Pereira, rencontré en 1993. Le premier est diplômé de l'école la plus prestigieuse de France, l'autre n'a que son certificat d'études, mais tous deux ont une histoire qui les rapproche : immigrés, entrepreneurs et travailleurs acharnés, ils s'entendent à merveille. En 1999, Armando Pereira revend Sogetrel, qui compte alors 1 450 employés, à la banque hollandaise ABN Amro. Lui et ses deux associés encaissent 31,5 millions d'euros. Il reste à son poste, sous la supervision de la banque et de son représentant, Christophe Karvelis. Ce dernier se souvient : « Parmi les fondateurs, Armando était l'homme de terrain, doté d'une forte fibre commerciale, très empathique et avenant, mais aussi d'une grande intelligence. » L'entrepreneur tente, en vain, de convaincre les nouveaux actionnaires qu'il est temps, pour Sogetrel, d'investir dans le réseau câblé, au lieu de se contenter d'installer. « Cela nécessitait beaucoup d'argent. Mais on aurait dû l'accompagner », regrette Christophe Karvelis.
Armando fait donc ses valises et rejoint, en octobre 2002, son partenaire en affaires, Patrick Drahi, au sein d'une holding nommée Altice. Pour 24 000 euros, il acquiert 20 % des parts (lire document ci-dessus). Drahi en garde 51 %. Les autres sont détenues par Angélique Benetti (9 %), une ancienne du Conseil supérieur de l'audiovisuel, aujourd'hui directrice des contenus chez SFR, et Bruno Moineville (20 %), qui n'exerce plus de fonction chez Altice. A coups de rachats, le groupe grandit dans l'Hexagone (France Télécom Câble, TDF Câble et NC Numericable en 2005, Noos-UPC France en 2006, Completel en 2007), aux Antilles (Outremer Telecom et Moebius en 2013), et au Portugal (Cabovisao en 2012 et Oni en 2013). En 2014, les acquisitions de SFR (13,4 milliards d'euros) et Virgin Mobile (325 millions d'euros) placent Altice sur le devant de la scène.
« C'est le nouvel homme fort de SFR »
Dans les médias, Patrick Drahi, qui vient de racheter, sur ses deniers personnels, les magazines L'Express et L'Expansion, après Libération, apparaît comme le seul capitaine à bord. Mais c'est un duo qui tient la barre. Dans l'ombre, Armando Pereira supervise l'intégration de chaque nouvelle entité, avec une rigueur assumée : « Nous coupons les coûts sur les choses superflues (…). Nos salariés doivent avoir ce qui leur faut pour travailler, pas plus », confiait-il à Sabado. La plupart des fusions se traduisent, dans un premier temps, par des licenciements : 316 chez France Télécom Câble en 2005, 862 chez Noos en 2006, 100 chez Cabovisao en 2012…
De quoi inquiéter chez SFR, l'opérateur mobile officiellement absorbé mi-novembre. Certes, Altice s'est engagé à ne pas y faire de plan social pendant trois ans, mais le ménage a commencé. La quasi totalité du comité exécutif de la marque a été remerciée, remplacée par des fidèles venus de Numericable. L'impitoyable chasse au gaspillage est lancée, orchestrée par Armando Pereira, surnommé le « top gun manager » dans une analyse financière de la banque française Oddo. « Son rôle est de contrôler les achats. C'est le nouvel homme fort de SFR », nous confirme un ex-cadre, fraîchement débarqué.
Les salariés et les sous-traitants inquiets
Les syndicalistes aussi ont appris à le connaître : « C'est le cost killer d'Altice », persifle l'un d'eux. Les vraies victimes de ce tournant de la rigueur seront les sous-traitants. Selon le plan stratégique présenté le 18 décembre, que nous nous sommes procuré, toutes les prestations seront soit renégociées, soit internalisées. D'après un représentant syndical, l'ensemble des factures doit baisser de 30 %. Pour cela, chaque dépense serait maintenant validée par un membre du comité exécutif. « Même l'achat d'un stylo bille », s'étonne un employé. « Altice a une politique de gestion efficace des coûts », dément sobrement Arthur Dreyfuss, le directeur de la communication d'Altice.
Bientôt, les 11 000 salariés de Portugal Telecom connaîtront le même régime : le rachat par Altice, pour 7,4 milliards d'euros, vient d'être validé par une ultime assemblée générale extraordinaire, jeudi 22 janvier. Là-bas, 4 000 postes en centres d'appels seront créés (délocalisés depuis la France, le Maroc et la Tunisie, selon Sabado), dont 1 000 à Vieira do Minho, le district natal d'Armando Pereira. L'enfant du pays, parti avec 600 euros en poche, revenu avec 3,2 milliards.
Une chose est sur: s'il vient les bieres gratos au secteur VIP et un billet imprimé qui en vaut 10 c'est finis
- Messages : 401 Like : 160 Date d'inscription : 02/10/2014
cafecreme68
Je connais ce Monsieur. Je l'ai rencontré dans les années 90 à la SOGETREL. Il m'avait embauché du personnel.J'ai souvenir d'un homme avenant en effet,sympathique et très actif, pas imbu de sa personne. Armando Pereira c'est du sérieux.Ce serait un homme providentiel pour le club.Wait and see..
- Messages : 1153 Like : 142 Date d'inscription : 27/08/2012
Gil521
Gil521 a écrit:Je connais ce Monsieur. Je l'ai rencontré dans les années 90 à la SOGETREL. Il m'avait embauché du personnel.J'ai souvenir d'un homme avenant en effet,sympathique et très actif, pas imbu de sa personne. Armando Pereira c'est du sérieux.Ce serait un homme providentiel pour le club.Wait and see..
Pareil, j'ai travaillé pour lui en interim, je l'ai rencontré une fois mais je m'en souvient très bien ca m'avais marqué.
j'en garde un très bon souvenir parque qu'en je lai rencontré j’étais loin, très loin de m'imaginer que c’était le Boss et qu'il était à la tete d'une petite fortune. si j'avais un mot pour le qualifier je dirais Humble.
- Messages : 435 Like : 42 Date d'inscription : 16/11/2012
indigo
Gil521 a écrit:Je connais ce Monsieur. Je l'ai rencontré dans les années 90 à la SOGETREL. Il m'avait embauché du personnel.J'ai souvenir d'un homme avenant en effet,sympathique et très actif, pas imbu de sa personne. Armando Pereira c'est du sérieux.Ce serait un homme providentiel pour le club.Wait and see..
Ça changerait du staff actuel et ce serait miraculeux d'avoir enfin des gens compétents aux manettes du Club
Maintenant j'ose espérer que le ménage sera fait!
D'autre part j'aimerais savoir quels sont les intérêts a reprendre notre Club?
Si cela arrive ,quel bonheur car depuis quelque temps,on est la risée du Hockey
- Messages : 2194 Like : 139 Date d'inscription : 07/08/2013
ajax 88
Quand j'ai vu vu Armando Pereirra,je me suis dit ,c'est un nom qui me dit quelque chose,un pilote de rallye
C'est le même homme!
OK pour lui a la tete du Club,sans les autres guignols!
Le moral remonte,vite,vite la certitude de ce gros bruit de couloir!
C'est le même homme!
OK pour lui a la tete du Club,sans les autres guignols!
Le moral remonte,vite,vite la certitude de ce gros bruit de couloir!
- Messages : 2194 Like : 139 Date d'inscription : 07/08/2013
ajax 88
Question peut être bête mais qu'elle est cette société?
https://www.verif.com/societe/ROMAIN-46-813872447/
C'est le restaurant?
https://www.verif.com/societe/ROMAIN-46-813872447/
C'est le restaurant?
- Messages : 26 Like : 11 Date d'inscription : 12/03/2017
Ixldam
Ixldam a écrit:Question peut être bête mais qu'elle est cette société?
https://www.verif.com/societe/ROMAIN-46-813872447/
C'est le restaurant?
assos avec son cher copain Anthony!
- Messages : 2194 Like : 139 Date d'inscription : 07/08/2013
ajax 88
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